Ce premier opus retrace l’histoire universelle d’émigrés déchirés entre deux terres, deux cultures. C’est un chant d’amour à une humanité qui, après la boucherie de la Grande guerre, a désespérément cru à une aube nouvelle, à des terres promises alors que dans l’ombre grandissaient des périls mortels.

Cette deuxième partie de la trilogie suit chacun des personnages dans ses passions et ses déchirements, ses ruptures et ses réconciliations. Dans ce récit aux rebondissements incessants, se mêlent la grande histoire et l'histoire souvent tragique des individus. L’opus s’achève au début du conflit qui marque la victoire écrasante de la horde hitlérienne.

Mazel tov signifie en hébreu bonne chance mais aussi qu'il en soit ainsi. C’est une sorte d'illumination intérieure qui oblige chacun à devenir soi-même. C'est aussi la révélation de bien des mystères qui accompagnaient dans l'ombre les femmes et les hommes qui ont peuplé cette trilogie.

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